Au cours de sa visite ce lundi 22 avril dans un établissement scolaire niçois, Gabriel Attal, Premier ministre, a été confronté à une question inattendue de la part d’un jeune lycéen curieux lors d’une séance de questions-réponses spontanée.
Lors de l’inauguration d’un internat novateur pour élèves en difficulté au lycée du Parc Impérial, un adolescent a directement demandé à Gabriel Attal : « Vous êtes…
Au cours de sa visite ce lundi 22 avril dans un établissement scolaire niçois, Gabriel Attal, Premier ministre, a été confronté à une question inattendue de la part d’un jeune lycéen curieux lors d’une séance de questions-réponses spontanée.
Lors de l’inauguration d’un internat novateur pour élèves en difficulté au lycée du Parc Impérial, un adolescent a directement demandé à Gabriel Attal : « Vous êtes riche ? » Surpris, le Premier ministre a pris un moment pour répondre, affirmant avec une certaine réserve : « Oui… plutôt ».
Toutefois, il a rapidement orienté la conversation vers des valeurs plus essentielles, soulignant l’importance de s’engager dans des activités qui procurent de la satisfaction personnelle, plutôt que de se focaliser uniquement sur l’aspect financier.
La discussion a pris une tournure encore plus directe lorsque le jeune garçon a interrogé Gabriel Attal sur son opinion concernant le président Emmanuel Macron. « Vous en pensez quoi de Macron ? » a-t-il demandé, à quoi le Premier ministre a répondu de manière évasive, notant sa collaboration étroite avec le président. L’adolescent n’a pas hésité à exprimer sa propre opinion, qualifiant le président de « méchant », ce qui a amené Gabriel Attal à tenter de rediriger la conversation vers le sujet principal de sa visite.
La situation financière de Gabriel Attal avait été précédemment exposée par les médias, révélant qu’il est effectivement millionnaire, avec des actifs substantiels en assurance vie, des économies, ainsi qu’un revenu mensuel significatif, tout en continuant de rembourser un prêt conséquent.
Ces informations, bien que publiquement accessibles, ajoutent une couche de complexité à l’image publique du Premier ministre, surtout lors d’échanges avec le public où les questions économiques et personnelles se croisent avec les responsabilités politiques.