Hier, mardi 18 février, à 18h45, une forte secousse sismique a ébranlé Nice et la Côte d’Azur, attirant l’attention du Centre Sismologique Euro-Méditerranéen.
Le BCSF Renass a enregistré un tremblement de terre de magnitude 4,1 sur l’échelle de Richter, sans toutefois…
Hier, mardi 18 février, à 18h45, une forte secousse sismique a ébranlé Nice et la Côte d’Azur, attirant l’attention du Centre Sismologique Euro-Méditerranéen.
Le BCSF Renass a enregistré un tremblement de terre de magnitude 4,1 sur l’échelle de Richter, sans toutefois provoquer de victimes ni de dégâts significatifs.
Les services de secours de Nice ont été sollicités par de nombreux appels peu après la secousse. Heureusement, aucun dégât majeur n’a été rapporté immédiatement, reflétant la modération de ce séisme.
Contexte sismique de la région
Christophe Larroque, géologue au laboratoire Géoazur, rappelle que le Sud-Est de la France est une zone régulièrement touchée par les séismes. Bien que modérée, cette secousse, d’une durée de 3 à 4 secondes, a été ressentie avec une intensité notable, accompagnée d’un bruit caractéristique.
Mesures de précaution et communication officielle
La Protection Civile a rapidement diffusé des consignes de sécurité, notamment l’éloignement des côtes et des structures potentiellement dangereuses. L’accent est mis sur la nécessité de ne pas encombrer les lignes téléphoniques pour permettre aux secours d’agir efficacement.
Christian Estrosi, le maire de Nice, a précisé que l’épicentre était situé près de Carros, au Nord-Est de la ville, suivi d’une réplique de magnitude 2,1.
Assurance face au risque de tsunami
La préfecture des Alpes-Maritimes a confirmé l’absence de risque de tsunami, une information confirmée par les experts, soulignant que les caractéristiques du séisme ne correspondent pas à celles pouvant générer un tel phénomène.
Les réseaux sociaux ont été le théâtre de nombreux témoignages, particulièrement de résidents de Coaraze et de Contes, qui ont partagé leur expérience des secousses.