La vie peut parfois basculer du jour au lendemain.
La vie peut parfois basculer du jour au lendemain. C’est la cruelle expérience qu’a vécu la famille Smith. Cecilia Smith, mère et épouse épanouie, croyait faire face à une simple piqûre d’ortie. Malheureusement pour elle, cette intuition n’était pas la bonne et cette sensation de picotement au poignet s’est rapidement transformé en drame.
Cecilia Smith pensait avoir été piqué par des orties ou par un insecte lors de son jardinage, malheureusement la réalité était tout autre
Lors de ce rendez-vous, la première hypothèse est vite écarté. L’état de Cecilia Smith s’est dégradé. Sa jambe gauche est désormais touchée par ces picotements désagréables. Deux jours plus tard, elle se retrouve bloquée au lit dans l’incapacité de se lever ou de bouger. Hospitalisée d’urgence à East Surrey Hospital, elle subit plusieurs examens, notamment des scanners crâniens et des IRM. Les résultats sont mauvais. C’est une tumeur au cerveau qui est la cause des picotements ressentis.
Les picotements ressentis par la femme de 52 ans sont dus à une tumeur cérébrale
Un vaccin expérimental augmente les chances de survie de 50% chez 4 personnes atteintes d’un cancer du cerveau très agressif https://t.co/Wim9YDHWqp #Santé pic.twitter.com/EOm6JHVslP
— L’important (@Limportant_fr) May 3, 2024
Après les différents examens passés, le verdict est sans appel : Cecilia Smith souffre d’une tumeur cérébrale.
Au St George’s Hospital de Londres, des examens complémentaires sont menés afin de connaître la gravité de la tumeur. Deux semaines seulement après avoir évoqué un syndrome du canal carpien, le diagnostic définitif tombe : c’est une tumeur cérébrale agressive et incurable. Cecilia Smith apprend qu’elle a au mieux entre 12 et 18 mois à vivre.
Face à cette maladie incurable, la famille Smith profite des derniers instants passés ensemble
Son mari Mark, sous le choc de l’annonce, déclare ressentir « un sentiment d’impuissance totale et absolue ». En quelques semaines seulement, sa femme a perdu toute autonomie. « C’était une femme forte et indépendante, la voir si fragile et vulnérable était déchirant », confie-t-il.
L’état de santé de la mère de famille s’est dégradé en l’espace de quelques jours.
Dans ces instants où l’espoir n’est même plus une option, la famille vit ses derniers moments en toute simplicité. Les petits plaisirs du quotidien, comme une séance de cinéma, une soirée pizzas ou encore une balade avec le chien et les enfants, sont une manière d’oublier l’issue tragique.
Le décès arrive quasiment un mois, jour pour jour, après son premier rendez-vous avec le physiothérapeute. En effet, Cecilia Smith est décédée de sa maladie le 11 mai, sans savoir que les adieux fait à ses enfants partis en train, deux jours auparavant, étaient les derniers.