« Un talentueux conteur d’histoires ». Si Thierry Ardisson est surtout connu pour ses émissions de télévision, il a commencé sa carrière dans le monde de la publicité. C’est lui qui a créé des slogans cultes tels que « quand c’est trop, c’est Tropico » et « Ovomaltine, c’est de la dynamique ! ». Mais rapidement, celui que l’on surnomme « l’homme en noir » a conquis le cœur des téléspectateurs français avec des émissions telles que Paris Dernière, Tout le monde en parle et Salut Les Terriens !. Et c’est à la télévision que l’animateur, qui a longtemps lutté contre la toxicomanie, fera son retour avec un nouvel épisode de son émission Hôtel du temps, diffusé sur France 3.
Après avoir ressuscité Dalida d’entre les morts, le mari d’Audrey Crespo-Mara ramène à la vie l’humoriste Coluche, avec l’accord de ses enfants, Marius et Romain Colucci. À l’occasion de la diffusion de l’émission ce vendredi 23 juin, Thierry Ardisson s’est ouvert dans les pages de Libération pour le portrait du jour. Le maître de la télévision en a profité pour dévoiler des informations sur sa situation financière, qui est plutôt confortable.
Hôtel du temps est un projet essentiel pour Thierry Ardisson, une manière pour lui de continuer à explorer la vie et le parcours des stars aujourd’hui disparues. « Ce qui me fascine, c’est l’ampleur du destin. Coluche, c’était le voyou de Montrouge devenu un saint laïque. Dalida, tous ses amoureux se sont suicidés. Alors que Michel Berger, de superbes chansons, mais pas de vie », explique-t-il dans le portrait du jour de Libération.
Cependant, l’animateur n’a pas seulement parlé de son émission, il s’est également livré sur ses finances, sans détour. « Je ne suis pas aussi riche qu’Arthur, mais j’ai de quoi voir venir jusqu’à l’âge de 106 ans », assure-t-il. Il précise même le montant de ses dépenses mensuelles, révélant qu’elles s’élèvent à environ 20 000 euros par mois. Un train de vie remarquable pour l’un des animateurs les plus emblématiques du paysage audiovisuel français, qui a récemment dévoilé son salaire en tant que publicitaire. Une chose est sûre, Thierry Ardisson ne risque pas de faire faillite de sitôt !