Sacha, 48 ans, se définit comme un « sexothérapute », un mélange entre la prostitution et la sexothérapie. Cet homme n’est pas un travailleur du sexe comme les autres. Ses clientes, des femmes de plus de 45 ans, ne viennent pas le voir pour une simple aventure d’un soir. Elles cherchent à renouer avec une vie sexuelle épanouissante et à retrouver de la considération pour leur corps.
Sacha, 48 ans, se définit comme un « sexothérapute », un mélange entre la prostitution et la sexothérapie. Cet homme n’est pas un travailleur du sexe comme les autres. Ses clientes, des femmes de plus de 45 ans, ne viennent pas le voir pour une simple aventure d’un soir. Elles cherchent à renouer avec une vie sexuelle épanouissante et à retrouver de la considération pour leur corps.
Un ancien technicien en écologie
Mais à la quarantaine, il a traversé une période de crise, un burn-out et un divorce. C’est à ce moment-là qu’il a décidé de changer de vie, poussé par son intérêt de longue date pour la sexualité et les pratiques comme le BDSM (bondage, domination, sadomasochisme), le jeu de rôle et les festivals érotiques.
Une proposition inattendue
Une clientèle particulière
Sacha ne vend pas son corps, selon ses propres mots, mais une prestation. Il a le sentiment d’avoir une utilité sociale non reconnue et se considère un peu comme un sexothérapeute, gérant une partie des problématiques sexuelles de la société.
Une activité encore taboue
Malgré son approche particulière, le travail de Sacha reste une activité taboue dans notre société. Comme de nombreux travailleurs du sexe, il estime que son métier devrait être reconnu et même remboursé par la Sécurité sociale, tant il joue un rôle important dans la vie intime de ses clientes.