Le 4 juillet, un retournement spectaculaire pour Poupette Kenza, une influenceuse résidant à Dubaï, qui a été accueillie par les autorités françaises non pas avec des fleurs, mais avec une interpellation lors de son arrivée en France.
Kenza Benchrif, de son vrai nom, est désormais au cœur d’une affaire judiciaire grave, confrontée à des accusations de « tentative d’extorsion en bande organisée » et…
Le 4 juillet, un retournement spectaculaire pour Poupette Kenza, une influenceuse résidant à Dubaï, qui a été accueillie par les autorités françaises non pas avec des fleurs, mais avec une interpellation lors de son arrivée en France.
Kenza Benchrif, de son vrai nom, est désormais au cœur d’une affaire judiciaire grave, confrontée à des accusations de « tentative d’extorsion en bande organisée » et d' »association de malfaiteurs », mettant en lumière les zones sombres du monde pailleté des influenceurs.
Arrestation et Accusations Sérieuses
L’affaire a pris une tournure grave lorsque Kenza Benchrif a été placée en détention provisoire, suite à une plainte alarmante d’un couple.
Ce dernier a accusé avoir été menacé physiquement par un individu, prétendument envoyé par l’influenceuse, pour les contraindre à verser une somme exorbitante de 200 000 euros.
Des méthodes d’intimidation sophistiquées auraient été utilisées, incluant la surveillance physique, l’installation de mini-caméras et une balise GPS sur leur véhicule.
Le 11 juillet, le sort de Poupette Kenza s’est encore assombri : le juge des libertés a décidé de la maintenir en détention provisoire, refusant sa demande de libération sous contrôle judiciaire.
Le risque de fuite a été souligné par le parquet de Rouen, compte tenu de ses attaches à Dubaï où elle vit avec son mari et leurs deux enfants. Cette décision soulève des questions sur les équilibres entre justice, préjugés et traitement médiatique des personnalités publiques.
Face à l’avalanche médiatique, les avocats de l’influenceuse ont publié un communiqué pour apporter un autre éclairage.
Ils ont souligné que Poupette Kenza se réserve pour expliquer sa version des faits uniquement devant la justice, évitant ainsi de transformer l’affaire en un combat médiatique nuisible à la sérénité du processus judiciaire.
Ils ont aussi rappelé que l’accusée nie les rôles qui lui sont attribués, affirmant être elle-même victime d’une spoliation financière, pour laquelle des procédures judiciaires avaient été engagées.