Grand Corps Malade, figure emblématique du slam français, a bravé les défis imposés par un accident qui aurait pu mettre fin à ses aspirations.
À l’âge de 19 ans, un plongeon tragique le plonge dans un combat acharné pour retrouver sa mobilité, un combat qui l’a partiellement laissé paralysé mais n’a en rien entamé sa détermination.
Grand Corps Malade, figure emblématique du slam français, a bravé les défis imposés par un accident qui aurait pu mettre fin à ses aspirations.
À l’âge de 19 ans, un plongeon tragique le plonge dans un combat acharné pour retrouver sa mobilité, un combat qui l’a partiellement laissé paralysé mais n’a en rien entamé sa détermination.
Son parcours, marqué par cette épreuve, transparaît dans ses œuvres, que ce soit à travers son film « Patients » ou ses textes profonds qui résonnent avec l’expérience vécue de la rééducation. Malgré les limites physiques, il a su trouver un écho auprès d’un large public, témoignant de la force de l’art comme moyen d’expression et de résilience.
Dans son interaction avec la scène, Grand Corps Malade aborde son handicap avec une philosophie qui inspire. Il reconnaît ses limites mais choisit de les transcender, préférant mettre en avant son art plutôt que ses contraintes physiques. « Je ne veux pas que cela se voie sur scène », confie-t-il, mettant l’accent sur la capacité de l’art à surmonter et à faire oublier les obstacles.
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