L’émission Touche pas à mon poste, sur C8, s’est une fois de plus retrouvée au cœur d’une polémique, suite à la venue de Quentin Bataillon, président de la Commission d’Enquête TNT de l’Assemblée Nationale.
Ce dernier est venu partager son expérience des convocations récentes d’animateurs et de figures médiatiques, dans le but de…
L’émission Touche pas à mon poste, sur C8, s’est une fois de plus retrouvée au cœur d’une polémique, suite à la venue de Quentin Bataillon, président de la Commission d’Enquête TNT de l’Assemblée Nationale.
Ce dernier est venu partager son expérience des convocations récentes d’animateurs et de figures médiatiques, dans le but de discuter du traitement de l’actualité à la télévision. Parmi les invités de cette commission, Yann Barthès, célèbre pour son émission Quotidien sur TMC, s’est distingué par une attitude qui n’a pas manqué de susciter les commentaires de M. Bataillon.
Le président de la commission a ouvertement critiqué Yann Barthès pour son comportement qu’il a qualifié d' »assez arrogant », soulignant une réticence à répondre aux questions posées. Cette déclaration a été faite en direct sur le plateau de TPMP, provoquant ainsi un émoi chez les internautes qui ont questionné la neutralité du président de commission.
L’intervention de Bataillon chez Cyril Hanouna, connu pour son franc-parler et ses prises de position, a soulevé des interrogations quant à l’impartialité de la commission, surtout lorsqu’il s’agit de commenter publiquement le comportement d’un autre animateur auditionné.
Les réactions sur les réseaux sociaux n’ont pas tardé, mettant en lumière une possible entorse à l’éthique de neutralité attendue d’une commission parlementaire. Les critiques soulèvent un débat plus large sur la frontière entre les responsabilités officielles et les apparitions médiatiques, particulièrement dans un contexte où les relations entre animateurs de télévision peuvent influencer la perception publique de l’impartialité et de l’intégrité des commissions d’enquête.
VOIR LE DIAPORAMA
