Avec son film « La Plateforme », le réalisateur espagnol Galder Gaztelu-Urrutia a laissé dans le flou plusieurs spectateurs. Certains n’ont rien compris, tandis que d’autres sont restés en suspens.
Diffusé en France via Netflix, le film raconte l’histoire de prisonniers détenus dans des cellules verticales numérotées selon le niveau. Dans chacune de ces cellules logent deux prisonniers qui y passent un certain temps jusqu’à ce qu’on leur change de niveau au hasard et de façon aléatoire.
Les prisonniers qui se trouvent aux niveaux supérieurs mangent bien ! D’ailleurs, ils sont les premiers à recevoir la table remplie de nourriture, tandis que ceux qui se trouvent dans les cellules inférieures meurent de faim parce qu’en fait, la grande table se vide au fur et à mesure qu’elle descend en bas.
Selon la personne qui a publié cette photo, on est censé deviner ce qu’il y a dans son assiette.
Un jeune homme a partagé son avis sur les réseaux sociaux en disant que « même à l’étage 187 de la Plateforme, ils mangent mieux que ça ! »
Une réponse qui a fait réagir les internautes…
Commentaire 1:
C’est vrai… le film met en relief la méchanceté et la voracité de notre espèce ! Mais mettons ça de côté et focalisons nous plutôt sur le plateau repas qui descend en bas !
Commentaire 2 :
Commentaire 2 :
Pour avoir raconté vaguement l’histoire du film, elle lui souhaite d’avoir pleins d’enfants…
Je ne peux être qu’être d’accord avec elle, les gens bienveillants méritent qu’on les multiplie. Notre monde en a grave besoin !
Commentaire 3:
Perd pas trop ton temps à expliquer, il y a des gens qui ne respectent rien !
« Le message c’est qu’elle est dégueulasse la PANNA COTTA ! »
Commentaire 4:
Il ne reste plus rien dans le 187e niveau, tu n’as qu’un seul choix parmi deux à faire :
-Tu jeûnes !
-Tu manges ton collègue de cellule !
Mais bon après, faut tout de même écouter son instinct…
Commentaire 5:
Quand tu vois ce plateau, tu te dis : Il y a tellement rien à manger dans ce plateau que même la fourchette, le couteau et les deux cuillères sont mangeables…
La fourchette t’entend et te répond : Voici un doigt d’honneur pour toi !
Commentaire 6:
Je suis du même avis que toi mon ami, on dirait bien des beignets tombés sur de la poussière, saupoudrés de poussière avec une portion supplémentaire de poussière en guise de garniture.
