La question de la présence du prince Harry aux funérailles de Lord Robert Fellowes soulève des inquiétudes et des débats.
Décédé à 82 ans, l’oncle du prince et conseiller de la reine Élisabeth II laisse derrière lui une famille royale en pleine réflexion sur les…
La question de la présence du prince Harry aux funérailles de Lord Robert Fellowes soulève des inquiétudes et des débats.
Décédé à 82 ans, l’oncle du prince et conseiller de la reine Élisabeth II laisse derrière lui une famille royale en pleine réflexion sur les implications de sa présence, notamment en raison des tensions sécuritaires et familiales.
La sécurité de Prince Harry est au cœur des préoccupations suite à sa décision de ne plus bénéficier de la garde rapprochée du ministère de l’Intérieur britannique.
Après avoir déménagé à Montecito en Californie, le prince a vu son droit à la sécurité officielle contesté, une bataille juridique qu’il a partiellement perdue en février dernier.
Cette situation complique son retour potentiel au Royaume-Uni pour les funérailles, comme il l’a exprimé lors d’une interview à ITV, soulignant les risques persistants : « C’est encore dangereux pour nous… Ce sont de vraies inquiétudes pour moi. »
Dilemmes familiaux et personnels
Au-delà des risques sécuritaires, l’absence de Harry pourrait être ressentie comme un manque de soutien envers sa famille, particulièrement lors du deuil de son oncle, qui était aussi le beau-frère de sa défunte mère, la princesse Diana.
Un proche a confié au Daily Beast que, bien que la présence du prince puisse potentiellement créer du « drame », son absence serait également pénible, surtout pour soutenir Jane, la veuve de Lord Fellowes.
« Il serait inimaginable que Harry ne soit pas là… Mais nous ne sommes pas en temps normal et il se peut que tout le monde pense que sa présence créerait trop de drame. »
Face à ces circonstances, le prince Harry se trouve devant un choix difficile. D’une part, son engagement envers sa famille au Royaume-Uni, et d’autre part, les défis personnels et sécuritaires qu’il doit gérer.
Son dilemme reflète les tensions profondes non seulement au sein de la famille royale mais aussi dans sa vie personnelle, équilibrant le devoir familial avec son bien-être personnel et celui de sa propre famille aux États-Unis.