James Middleton, le frère moins connu de Kate Middleton, raconte comment la célébrité a bouleversé sa vie privée, notamment après le mariage de sa sœur avec le prince William.
Dans un édito pour The Telegraph, il partage ses expériences avec la presse et comment il a finalement trouvé la paix loin du…
James Middleton, le frère moins connu de Kate Middleton, raconte comment la célébrité a bouleversé sa vie privée, notamment après le mariage de sa sœur avec le prince William.
Dans un édito pour The Telegraph, il partage ses expériences avec la presse et comment il a finalement trouvé la paix loin du tumulte de Londres.
La célébrité s’est imposée brutalement pour James Middleton après le mariage royal de sa sœur Kate avec le futur roi d’Angleterre.
Si aujourd’hui il semble avoir trouvé un équilibre, ses premiers pas sous l’œil public furent marqués par des moments difficiles avec la presse à scandale.
Il évoque notamment un incident survenu peu après le mariage royal en 2011, où une photo de lui en robe à pois, prise lors d’une soirée costumée à l’Université d’Édimbourg, avait fait le tour des tabloïds.
Apprendre à Vivre avec le Passé
James réfléchit aux leçons apprises à travers ces épreuves, notamment l’importance de la discrétion dans certaines situations sociales pour éviter les controverses médiatiques. »
J’ai appris certaines choses, comme le fait de ne pas se travestir à une soirée d’Halloween, sous peine de faire la Une des journaux en tant que ‘frère travesti’”, partage-t-il, reconnaissant qu’il ne peut pas constamment penser à ce qu’il aurait pu faire différemment.
Une Vie Tranquille à la Campagne
Après des années passées à lutter contre la dépression et à gérer l’attention non désirée, James et sa famille ont trouvé refuge dans la tranquillité de la campagne.
Loin du chaos de la capitale, il vit aujourd’hui avec sa femme, leur fils et leurs six chiens, cherchant à mener une vie simple et apaisée. Il illustre leur philosophie de vie par une comparaison avec leurs chiens, qui ne se préoccupent ni du lendemain ni d’hier.