Dans son tout nouvel ouvrage photographique, « Pagny par Ael » prévu pour le 6 novembre, Ael Pagny capture l’essence de la tournée des 60 ans de son père, Florent Pagny.
Ce projet, initialement conçu comme un hommage à sa carrière, prend une tournure émotive avec la…
Dans son tout nouvel ouvrage photographique, « Pagny par Ael » prévu pour le 6 novembre, Ael Pagny capture l’essence de la tournée des 60 ans de son père, Florent Pagny.
Ce projet, initialement conçu comme un hommage à sa carrière, prend une tournure émotive avec la révélation de la maladie de son père.
Ael Pagny partage avec une franchise touchante les défis auxquels son père a dû faire face, notamment ses rituels avant de monter sur scène.
« Il a tout petit moment de trac, je dirais en montant l’escalier, les dix derniers mètres avant de découvrir la scène et le public, » raconte-t-elle dans une interview pour VSD.
Florent Pagny maintient également des rituels précis, tels qu’un repas à 16 heures suivi d’une tisane, pour se préparer mentalement et physiquement à la performance.
Un talisman personnel
Parmi les objets personnels de Florent Pagny, une boule de cristal occupe une place spéciale, symbole de protection et de clarté pour le chanteur.
Cette révélation, faite par sa fille lors d’une discussion avec les journalistes de Sept à Huit, illustre l’intimité et la profondeur de leur lien familial.
Vision d’une famille unie
L’admiration d’Ael pour ses parents transparaît clairement lorsqu’elle évoque leur relation.
« Ils sont trop mignons ! C’est mon exemple de couple. Je suis trop contente d’avoir des parents qui s’aiment autant et qui ne se lâchent jamais, » partage-t-elle, soulignant l’exemple d’amour et de soutien mutuel qu’ils lui offrent.
Elle aborde également avec sensibilité la maladie de son père, qu’elle décrit comme un « interrupteur » qui a mis leur vie en pause, forçant la famille à s’adapter et à embrasser une nouvelle réalité.
Double héritage culturel
La jeune femme et son frère, Inca, ont grandi imprégnés des cultures française et argentine, un mélange que leur mère considère comme une richesse.
« On a appris le français et l’espagnol en même temps. On adore être en Argentine, » confie Ael, illustrant la fusion harmonieuse des cultures qui caractérise leur identité.