Un événement tragique a secoué la petite commune de Souffelweyersheim, dans le Bas-Rhin, ce jeudi 18 avril 2024. Deux jeunes filles, âgées de 6 et 11 ans, ont été la cible d’une attaque au couteau à proximité de leur établissement scolaire, l’école Dannenberger. L’incident a été rapporté par 20 minutes et confirmé par la préfecture locale.
Les circonstances de l’agression sont particulièrement alarmantes : la fillette de 11 ans a été agressée juste devant son école, tandis que la…
Un événement tragique a secoué la petite commune de Souffelweyersheim, dans le Bas-Rhin, ce jeudi 18 avril 2024. Deux jeunes filles, âgées de 6 et 11 ans, ont été la cible d’une attaque au couteau à proximité de leur établissement scolaire, l’école Dannenberger. L’incident a été rapporté par 20 minutes et confirmé par la préfecture locale.
Les circonstances de l’agression sont particulièrement alarmantes : la fillette de 11 ans a été agressée juste devant son école, tandis que la plus jeune a été attaquée dans un parc voisin. Heureusement, les deux victimes n’ont subi que des blessures superficielles et ont rapidement été prises en charge, transportées à l’hôpital pour recevoir les soins nécessaires.
Dans la foulée de cette attaque, une mesure de confinement a été rapidement mise en place au sein de l’école, sécurisant les élèves jusqu’à ce que la situation soit maîtrisée. En fin d’après-midi, les parents ont été autorisés à récupérer leurs enfants, une annonce faite par Jean-Baptiste Peyrat, directeur de cabinet du préfet, qui a assuré que la menace était écartée et que les enfants pouvaient être récupérés en toute sécurité. Une cellule d’urgence médico-psychologique a également été mise en place pour soutenir les élèves et les familles affectées.
Quant à l’agresseur, un homme de 29 ans, il a été arrêté dans l’après-midi sans opposer de résistance dans le parc où avait eu lieu la deuxième attaque. Les premiers éléments de l’enquête révèlent que l’homme n’était pas connu des services de police et ne semble pas avoir agi sous l’impulsion de motifs radicalisés. Cependant, des questions demeurent concernant son état mental, qui pourrait éventuellement expliquer son geste désespéré.