À la fin de l’année 2022, Amalia, la princesse héritière des Pays-Bas et fille du roi Willem-Alexander et de la reine Màxima, a été la cible de menaces sérieuses d’enlèvement et d’attentat émanant de la Mocro Maffia, une organisation criminelle néerlandaise.
Ces menaces ont contraint la jeune femme de 20 ans à quitter son logement étudiant à Amsterdam pour se réfugier à la résidence royale de Huis ten Bosch, à La Haye. Cette situation a…
À la fin de l’année 2022, Amalia, la princesse héritière des Pays-Bas et fille du roi Willem-Alexander et de la reine Màxima, a été la cible de menaces sérieuses d’enlèvement et d’attentat émanant de la Mocro Maffia, une organisation criminelle néerlandaise.
Ces menaces ont contraint la jeune femme de 20 ans à quitter son logement étudiant à Amsterdam pour se réfugier à la résidence royale de Huis ten Bosch, à La Haye. Cette situation a également touché le ministre belge de la Justice, Vincent Van Quickenborne, qui a fait face à des menaces similaires.
Toutefois, une évolution notable s’est produite récemment. Selon Vanitatis, un média espagnol, et confirmé par des sources du journal néerlandais Het Parool, Amalia a pu retourner dans son logement d’étudiante. Cette reprise de sa vie normale s’accompagne de mesures de sécurité renforcées, notamment l’installation de nouvelles caméras de surveillance autour de sa résidence pour détecter toute activité suspecte.
Le gouvernement néerlandais, soucieux de la vie privée de la princesse, n’a pas souhaité commenter ces informations. La princesse Amalia, qui poursuit ses études dans des domaines variés tels que la politique, la psychologie, le droit et l’économie à Amsterdam, avait exprimé le manque que lui causait sa vie étudiante normale.
Son père, le roi Willem-Alexander, avait partagé ses inquiétudes concernant les restrictions à la liberté de sa fille dans un podcast, soulignant l’impact de ces menaces sur la vie de sa famille.
Les raisons précises permettant le retour d’Amalia à Amsterdam restent non divulguées, et la famille royale n’a pas fait de déclaration officielle à ce sujet. Il est suggéré que le niveau de menace initial ait pu être surévalué, mais cette hypothèse reste à confirmer.