Ce jeudi 18 avril 2024, l’affaire Delphine Jubillar a connu un nouveau développement lorsque les enquêteurs ont lancé des fouilles à Cagnac-les-Mines dans l’espoir de retrouver des indices cruciaux. Delphine Jubillar a disparu en décembre 2020, et son mari, Cédric Jubillar, reste le principal suspect dans cette affaire qui a captivé le public.
Les opérations de recherche ont mobilisé une trentaine de militaires et de réservistes, ainsi qu’un chien spécialisé dans la détection de…
Ce jeudi 18 avril 2024, l’affaire Delphine Jubillar a connu un nouveau développement lorsque les enquêteurs ont lancé des fouilles à Cagnac-les-Mines dans l’espoir de retrouver des indices cruciaux. Delphine Jubillar a disparu en décembre 2020, et son mari, Cédric Jubillar, reste le principal suspect dans cette affaire qui a captivé le public.
Les opérations de recherche ont mobilisé une trentaine de militaires et de réservistes, ainsi qu’un chien spécialisé dans la détection de restes humains. La zone sécurisée pour les fouilles se trouve au lieu-dit « La Soulié », près du lac des Homps et du musée-mine de Cagnac, une région déjà scrutée par le passé. L’objectif de cette nouvelle initiative est de vérifier certaines informations potentielles, y compris une affirmation faite par une voyante en 2022, qui prétendait avoir vu Delphine Jubillar dans un vide sanitaire d’un corps de ferme.
La Dépêche a révélé que cette journée était consacrée à un « ratissage » minutieux de l’endroit, avec une bulle de protection établie pour empêcher tout accès non autorisé de la part des médias ou des curieux locaux. Cette stratégie de fouille vise à « fermer des portes » sur certaines théories ou pistes, selon une source proche du dossier.
Les juges d’instruction, Audrey Assémat et Coralyne Chartier, ont commandé ces fouilles dans le cadre d’un supplément d’information judiciaire, montrant que l’enquête, bien que retardée précédemment par une demande de récusation des juges de la part des avocats de Cédric Jubillar, continue de progresser.