Depuis quarante ans, le meurtre du petit Grégory Villemin reste une énigme non résolue, teintée de mystère et de tragédie.
L’affaire, qui a captivé la France, continue de susciter interrogations et théories, sans jamais livrer de réponses définitives sur l’identité de…
Depuis quarante ans, le meurtre du petit Grégory Villemin reste une énigme non résolue, teintée de mystère et de tragédie.
L’affaire, qui a captivé la France, continue de susciter interrogations et théories, sans jamais livrer de réponses définitives sur l’identité de l’assassin de ce jeune garçon de quatre ans.
Le 16 octobre 1984, le petit Grégory disparaissait de devant sa maison familiale. Peu après, un courrier menaçant était envoyé à son père depuis Lépanges, suivi d’un appel téléphonique terrifiant à l’un des oncles de l’enfant, Michel Villemin.
Cette voix annonçait avoir accompli sa vengeance en étranglant le jeune garçon et en le jetant à la rivière Vologne.
L’énigme persistante de Lépanges
L’affaire a immédiatement provoqué un tumulte médiatique, avec des journalistes de grands titres comme Paris Match convergeant vers le petit village.
Les habitants de Lépanges ont toujours gardé des souvenirs précis de cette période troublée, oscillant entre le chagrin et le soupçon. Une commerçante locale révèle même que dans le village, certains pensent connaître l’identité du véritable assassin.
Un drame familial aux multiples rebondissements
Le corps de Grégory fut retrouvé quelques heures plus tard, les membres liés par des cordelettes, dans les eaux glaciales de la Vologne. L’autopsie révélera que la cause du décès était une hydrocution suivie d’une noyade.
Bernard Laroche, un cousin du père de Grégory, fut rapidement soupçonné, accusé par sa belle-sœur Murielle Bolle, puis libéré faute de preuves, avant d’être tragiquement tué par le père du petit Grégory, convaincu de sa culpabilité.