Julia Vignali, enrichissant continuellement son expertise dans le monde fascinant des antiquités grâce à « Affaire conclue », a récemment été témoin d’une découverte exceptionnelle. Le 27 septembre, une rencontre avec Martine, une charmante septuagénaire, a pris une tournure inattendue sur le plateau de l’émission.
Cette dernière, désireuse de se séparer de deux vases hérités de la tante de son mari, a apporté ces pièces pour une expertise par Harold Hessel, expert en objets d’art et commissaire-priseur respecté de l’émission.
Lorsque Julia a effleuré les vases, elle a été surprise par…
Julia Vignali, enrichissant continuellement son expertise dans le monde fascinant des antiquités grâce à « Affaire conclue », a récemment été témoin d’une découverte exceptionnelle. Le 27 septembre, une rencontre avec Martine, une charmante septuagénaire, a pris une tournure inattendue sur le plateau de l’émission.
Cette dernière, désireuse de se séparer de deux vases hérités de la tante de son mari, a apporté ces pièces pour une expertise par Harold Hessel, expert en objets d’art et commissaire-priseur respecté de l’émission. Lorsque Julia a effleuré les vases, elle a été surprise par leur sonorité unique, une caractéristique inhabituelle qui a piqué sa curiosité et celle des téléspectateurs.
Harold Hessel a rapidement éclairci le mystère : il s’agissait d’opaline, un type de verre fin et lumineux, souvent confondu avec de la porcelaine en raison de sa délicate apparence. La magie s’est opérée lorsque le studio s’est plongé dans l’obscurité, permettant à Harold de mettre en lumière, littéralement, la sublime transparence et la légèreté de ces objets grâce à une simple lampe torche.
Ces vases, principalement décoratifs, se sont révélés être des pièces de collection rarissimes, mêlant la poudre d’os à leur composition pour leur donner cette texture et cette clarté exceptionnelles. La surprise de Julia face à cette révélation a été palpable, tandis que Harold expliquait la particularité et la rareté de l’opaline, soulignant la distinction et l’élégance de ces vases.
De plus, il a pu authentifier ces merveilles comme étant des créations de la célèbre cristallerie de Baccarat datant de 1892. Martine a été vivement encouragée à défendre le prix de ces vases, avec une valeur minimale fixée à 1 500 euros par Harold. Finalement, c’est François Cases Bardina qui a fait l’acquisition de ces précieux objets pour 1 800 euros, confirmant leur valeur et leur rareté.
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