L’émission « Sept à Huit » sur TF1 a récemment été le centre d’une polémique suite à la diffusion d’un reportage sur Anne, une femme ayant été dupée par un escroc se faisant passer pour Brad Pitt, lui coûtant ainsi 830.000 euros.
Face à la réaction virulente des internautes qui ont parodié et critiqué le témoignage, TF1 a pris la …
L’émission « Sept à Huit » sur TF1 a récemment été le centre d’une polémique suite à la diffusion d’un reportage sur Anne, une femme ayant été dupée par un escroc se faisant passer pour Brad Pitt, lui coûtant ainsi 830.000 euros.
Face à la réaction virulente des internautes qui ont parodié et critiqué le témoignage, TF1 a pris la décision de retirer le contenu de ses plateformes pour protéger la victime, particulièrement vulnérable.
Controverse et réactions en chaîne
La diffusion de ce reportage a déclenché une vague de moqueries et de harcèlement envers Anne, ce qui a poussé TF1 à réagir rapidement pour minimiser les dommages.
Sur X (anciennement Twitter), la chaîne a justifié sa décision en soulignant son rôle d’informer tout en protégeant les individus impliqués.
« Pour la protection des victimes, nous avons décidé de retirer le reportage de nos plateformes », a expliqué TF1, mettant en avant sa responsabilité envers les personnes qu’elle expose.
Cyril Hanouna, un soutien inattendu?
Peu après cette affaire, Cyril Hanouna, dans son émission « Touche pas à mon poste » sur C8, a exprimé son désir d’aider Anne. Il a suggéré qu’un geste de Brad Pitt, même symbolique comme un appel, pourrait avoir un impact positif sur elle.
Cette idée a reçu un accueil enthousiaste de la part de ses chroniqueurs, bien que la suggestion de Kelly Vedovelli que Brad Pitt rembourse la somme perdue ait été accueillie avec plus de scepticisme par l’animateur.
La proposition de Hanouna d’essayer de contacter Brad Pitt pour inviter Anne à diner ou simplement pour un appel de soutien illustre une tentative de transformer un moment médiatique négatif en une opportunité de réconfort pour la victime.
Médias et responsabilité sociale
Cette situation soulève des questions importantes sur la responsabilité des médias dans la protection des individus qu’ils présentent au public, surtout lorsqu’ils sont déjà victimes de crimes ou d’abus.
L’incident rappelle également le pouvoir des médias et des personnalités publiques à influencer positivement les situations, même dans des cas où ils ne sont pas directement impliqués.