Une récente étude menée par l’application de jeux de casino MrQ, en collaboration avec une intelligence artificielle, suggère qu’il serait possible de déceler les traits d’un homme infidèle à partir de son physique.
Ce projet, mêlant technologie et psychologie humaine, a engagé près de 2000 Britanniques dans un sondage visant à…
Une récente étude menée par l’application de jeux de casino MrQ, en collaboration avec une intelligence artificielle, suggère qu’il serait possible de déceler les traits d’un homme infidèle à partir de son physique.
Ce projet, mêlant technologie et psychologie humaine, a engagé près de 2000 Britanniques dans un sondage visant à identifier les caractéristiques physiques associées à l’infidélité.
MrQ a exploré l’idée que certaines caractéristiques physiques pourraient être indicatives de comportements tels que la tricherie et, par extension, l’infidélité.
Les participants à l’étude ont été invités à décrire ce à quoi, selon eux, ressemble une personne malhonnête.
L’intelligence artificielle a ensuite été utilisée pour analyser ces données et créer un « portrait-robot » de l’homme infidèle typique, ainsi que de la femme.
Traits d’un infidèle selon l’IA
Le profil généré par l’IA décrit un homme d’environ quarante ans, avec des yeux bleu-gris, des petites lèvres, une barbe courte, et une calvitie naissante.
Il présenterait également un nez proéminent et des rides marquées. Pour les femmes, le portrait est celui d’une quinquagénaire aux cheveux noirs, avec un petit nez et une moue de taille moyenne.
Ces descriptions visent à capturer les traits communs observés chez les individus perçus comme susceptibles de tricher ou tromper.
Réactions et implications
Rosie Maskell, directrice marketing senior chez MrQ, a exprimé sa satisfaction quant aux résultats, soulignant que cette enquête a mis en lumière les traits physiques souvent associés à la tricherie.
Elle a cependant rappelé que les comportements sont principalement définis par les choix et actions des individus, et non par leur apparence.
Plus de la moitié des participants à l’enquête ont indiqué avoir été impliqués dans des relations où la tromperie a joué un rôle.