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Aucune explication pour cette naissance étonnante chez une vache
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Aucune explication pour cette naissance étonnante chez une vache
Le mardi 14 mai 2024, un événement tragique a secoué le département de l’Eure.
Mohamed Amra, âgé de 30 ans, était incarcéré depuis 202…
Le mardi 14 mai 2024, un événement tragique a secoué le département de l’Eure. Un groupe armé a attaqué un fourgon de transport pénitentiaire au péage d’Incarville, faisant deux victimes parmi les agents pénitentiaires. Fabrice Moello et Arnaud Garcia ont perdu la vie dans cette attaque, tandis que le détenu Mohamed Amra et ses présumés complices ont pris la fuite. Depuis, une vaste chasse à l’homme est lancée pour retrouver les fugitifs.
Mohamed Amra, âgé de 30 ans, était incarcéré depuis 2022 à la maison d’arrêt d’Évreux pour plusieurs crimes graves, notamment des extorsions armées. Il était également impliqué dans des trafics de stupéfiants et soupçonné d’avoir commandité des meurtres. Son évasion spectaculaire a plongé les autorités dans une course contre la montre pour le retrouver.
Une cavale « compliquée à tenir sur la distance »
Les enquêteurs travaillent sans relâche pour retrouver les individus. Interrogé sur France Info, l’ancien instructeur du RAID, Bruno Pomart, a fait le point sur l’enquête. « La police nationale a mis en place un nombre conséquent, près de 350 enquêteurs, sur cette affaire. C’est une très bonne chose, ça permet de taper dans tous les sens », a-t-il expliqué.
Il a ensuite indiqué pourquoi, selon lui, Mohamed Amra pourrait bientôt être localisé. « Pour se planquer, évidemment, il faut payer. Donc ça demande beaucoup, beaucoup de moyens (…) Il sera très compliqué pour Mohamed Amra de tenir sur la distance », a-t-il ajouté.
« Pour se planquer, évidemment, il faut payer »
Interpol a émis une notice rouge à l’encontre des trois individus recherchés, composés de Mohamed Amra et des deux membres du commando qui l’ont libéré. Selon Bruno Pomart, ils pourraient être toujours dans l’Eure, département où l’attaque du fourgon a eu lieu.
« Tout est possible (…) c’est pour ça que la fiche rouge a été déclenchée. Ça va permettre d’avoir des infos, s’il y a eu des passages de frontières ou pas, mais il est fort possible qu’ils soient restés dans le secteur de l’Eure », a-t-il conclu.
