Derrière les projecteurs et les caméras, la vie de Stéphane Bern n’est pas aussi dorée qu’on pourrait le croire. Dans une interview choc accordée au Parisien, l’animateur vedette a levé le voile sur sa situation financière préoccupante. Malgré son succès médiatique et ses nombreuses casquettes, Stéphane Bern se retrouve aujourd’hui criblé de dettes, au point de devoir prendre des décisions radicales pour assainir ses finances.
Derrière les projecteurs et les caméras, la vie de Stéphane Bern n’est pas aussi dorée qu’on pourrait le croire. Dans une interview choc accordée au Parisien, l’animateur vedette a levé le voile sur sa situation financière préoccupante. Malgré son succès médiatique et ses nombreuses casquettes, Stéphane Bern se retrouve aujourd’hui criblé de dettes, au point de devoir prendre des décisions radicales pour assainir ses finances.
Stéphane Bern, le patrimoine avant tout
Paris : la place de la Concorde se dote d’une commission avec Stéphane Bern pour achever sa transformation
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Au-delà de ses émissions télévisées qui l’ont propulsé sur le devant de la scène, Stéphane Bern a également bénéficié des revenus générés par la vente de ses nombreux livres. Cependant, ces sources de revenus n’ont pas suffi à combler sa passion dévorante pour la préservation du patrimoine historique français.
« Les gens ont sans doute l’impression que je gagne beaucoup parce que je fais beaucoup de choses et qu’elles sont en général très médiatiques. Mais j’en fais une bonne partie gratuitement, comme la mission Patrimoine, » a confié l’animateur.
Un rêve devenu cauchemar financier
L’achat du collège Royal de Thiron-Gardais, une bâtisse classée Monument Historique, devait être le joyau de la couronne pour Stéphane Bern. Avec l’ambition d’en faire un musée accessible au public, il a investi corps et âme dans ce projet. Cependant, les défis de restauration se sont avérés bien plus coûteux que prévu, même pour le célèbre animateur.
« J’ai refusé toutes les aides publiques, » a-t-il expliqué, soulignant son indépendance financière. Malheureusement, cette décision a eu un prix élevé, puisque les dettes liées à ce projet se sont accumulées jusqu’à atteindre la somme vertigineuse de 4 millions d’euros à rembourser sur 25 ans.
Vendre pour survivre
« Je m’en suis mis beaucoup sur le dos. Il faut que je rationalise mon patrimoine et c’est pour cela que je vends Paros, » a-t-il confié, faisant référence à sa maison en Grèce. Malgré ces sacrifices, Stéphane Bern ne regrette pas ses choix passés, affirmant avec conviction : « Je n’ai pas envie de laisser de dettes après moi. »