Dans une révélation surprenante dévoilée ce lundi par Le Parisien, Valérie Trierweiler, l’ex-journaliste de renom et ex-compagne de François Hollande, a été choisie pour encadrer Olivier Marleix, figure proéminente de la droite française. Cet accompagnement survient à un moment où le parti Les Républicains connaît des frictions internes notables.
Les sessions de formation aux médias, ces ateliers conçus pour affûter les compétences en communication des politiques, sont devenues…
Dans une révélation surprenante dévoilée ce lundi par Le Parisien, Valérie Trierweiler, l’ex-journaliste de renom et ex-compagne de François Hollande, a été choisie pour encadrer Olivier Marleix, figure proéminente de la droite française. Cet accompagnement survient à un moment où le parti Les Républicains connaît des frictions internes notables.
Les sessions de formation aux médias, ces ateliers conçus pour affûter les compétences en communication des politiques, sont devenues monnaie courante. Qui pourrait alors mieux endosser le rôle de mentor que Valérie Trierweiler, forte d’une carrière impressionnante chez Paris Match et aujourd’hui animatrice de Hexagone sur L’Hémicycle TV ?
Récemment, elle a offert ses lumières à Olivier Marleix, malgré des divergences idéologiques marquées, illustrant le caractère professionnel de ces échanges. « Une séance d’interviews. Rien d’extraordinaire », a-t-elle commenté, minimisant l’originalité de la démarche tout en soulignant son ubiquité.
Cette collaboration a toutefois suscité des remous au sein des Républicains, notamment après l’éviction d’Alexandre Vincendet le 6 mars, accusé de penchants trop centrés vers les idées d’Édouard Philippe. Lors d’une assemblée tendue, un échange piquant a eu lieu : « Tu critiques mon philippisme, mais n’est-ce pas contradictoire de ton côté de t’entourer de Trierweiler pour tes médias ? », a lancé Vincendet à Marleix, exposant ainsi les tiraillements sur la question de la fidélité et des alliances politiques.
Dans un registre quelque peu différent, certains optent pour des conseils émanant du monde du spectacle. C’est le cas de Valérie Pécresse, qui, malgré une apparition peu convaincante au Zénith de Paris en février 2022, a choisi de se laisser guider par Benoit Solès, célèbre pour son rôle dans Plus belle la vie.
Lauréat du Molière de l’auteur et du comédien pour La Machine de Turing en 2019, Solès avait rencontré la présidente de la région Île-de-France en 2014. « J’ai principalement travaillé avec elle sur sa maîtrise des prompteurs-miroirs », révèle-t-il dans les colonnes du Monde, témoignant de la polyvalence des compétences transférables du théâtre à la politique.
VOIR LE DIAPORAMA
