La vie réserve parfois des tournants inattendus, même pour les figures emblématiques de notre culture. Françoise Hardy, icône de la chanson française, s’est trouvée face à une épreuve marquante : contrainte de quitter son spacieux appartement du XVIème arrondissement de Paris pour un espace plus modeste.
Un changement de décor poignant pour celle qui, en avril 2012, exprimait déjà ses inquiétudes dans Paris Match, redoutant les répercussions de l’Impôt de Solidarité sur…
La vie réserve parfois des tournants inattendus, même pour les figures emblématiques de notre culture. Françoise Hardy, icône de la chanson française, s’est trouvée face à une épreuve marquante : contrainte de quitter son spacieux appartement du XVIème arrondissement de Paris pour un espace plus modeste.
Un changement de décor poignant pour celle qui, en avril 2012, exprimait déjà ses inquiétudes dans Paris Match, redoutant les répercussions de l’Impôt de Solidarité sur la Fortune et les conséquences d’une politique fiscale plus rigoureuse sous la présidence de François Hollande.
La maladie n’a fait qu’ajouter à la gravité de la situation. Atteinte d’un lymphome depuis 2004, la chanteuse s’est décrite comme étant particulièrement affaiblie, allant jusqu’à se dépeindre en des termes déchirants dans le Journal du Dimanche, se percevant comme « une loque humaine » après les tribulations de son déménagement.
Cependant, Françoise Hardy a su faire preuve de résilience. Annonçant son déménagement sur le plateau du Grand Journal, elle a révélé avoir troqué son vaste huit pièces pour un trois pièces plus modeste, tout en trouvant des raisons de se réjouir de son nouveau cadre de vie, qu’elle décrit comme « très agréable ».
Son nouveau refuge, situé au premier étage d’un bâtiment moderne, est marqué par la simplicité et la sérénité, avec pour seule décoration notable une statue de Bouddha en or, symbole d’une quête de paix intérieure.