Victoria Bedos, la réalisatrice du film « La Plus belle pour aller danser », sorti en avril dernier, s’est récemment confiée sur sa vie privée dans une interview accordée à Paris Match. Elle a notamment révélé qu’elle avait été traumatisée par une lettre anonyme qu’elle avait reçue à l’âge de 13 ans, signée « de la part de 4°2 et 4°4 », qui la décrivait comme étant moche et indésirable. Cette expérience difficile a laissé une marque profonde sur elle, même des années plus tard.
Victoria Bedos a également parlé de son enfance, qui n’a pas été aussi rose qu’elle l’aurait souhaité. Bien qu’elle ait eu des amies et qu’elle ait été une bonne élève, elle n’a jamais été la plus populaire ou la plus confiante dans la cour de récréation. Cependant, elle a réussi à trouver de l’humour dans ces moments difficiles, ce qui a inspiré le ton comique de son film.
« La Plus belle pour aller danser » traite principalement de l’amour et de la première histoire d’amour, avec ses papillons dans le ventre et son cœur qui bat la chamade. Victoria Bedos se reconnaît dans son personnage de Marie-Luce et a adoré retrouver l’ascenseur émotionnel qu’elle avait ressenti lors de ses premières amours adolescentes.
Cependant, l’adolescence a également été l’une des périodes les plus difficiles de sa vie, comme pour beaucoup d’autres jeunes. Victoria Bedos a décrit cette période comme la pire, avec la puberté et les changements corporels qui peuvent être traumatisants pour les filles comme pour les garçons. Elle a également déclaré qu’entre la 4e et la 3e, il y a le plus de cruauté dans les cours de collège, où l’on peut facilement se sentir exclu ou différent des autres.